Le bilan fiscal de Sarkozy n’est guère brillant : le candidat Sarkozy avait promis de ne pas augmenter les impôts mais il n’a pas pu tenir ses promesses, créant une multitude de nouvelles taxes.
Durant tout son quinquennat, Sarkozy a continué à affirmer qu’il refusait « absolument la perspective d’une augmentation générale des impôts« , mais il n’a pourtant cessé de créer de nouvelles taxes et de supprimer des niches fiscales. En 5 ans, Sarkozy a crée 30 nouvelles taxes.
Bilan fiscal de Sarkozy :
Création de 23 nouvelles taxes et suppressions de niches fiscales dans le budget de l’ Etat permettant de générer 3 milliards d’euros dans les caisses de l’ Etat ( taxe sur les bonus des traders, taxe sodas, taxe sur les clefs usb et les disques dures, taxe sur les nuits d’hôtel, etc…).
Création de 8 nouvelles taxes pour le budget de la Sécurité sociale, et suppression ( ou réduction) de 7 niches fiscales. Ces nouvelles taxes ont rapporté 1,4 milliard d’euros supplémentaires dans les caisses de la Sécu en 2008, 700 millions en 2009 et 8 milliards d’euros en 2010.
Sarkozy avait promis en 2007 de réduire de 4 points les prélèvements obligatoires : depuis 2007, le taux de prélèvements obligatoires est passé de 43,4 % à 44,5 % prévus pour 2012, soit seulement 0,4 point de moins que le record du gouvernement Jospin de 1999 (44,9 %).
Le bilan fiscal de Sarkozy fait de lui le champion incontesté de la taxe.
source: le Monde
Les caisses sont vides !!!!! Ils continuent a dépenser sans compter, Quelque part je me dis que les grecs, iltalien et espagnol ont raison de pratiquer le fraude fiscale, car plus nos dirigeant ont de l’argent, plus ils en dépensent .
Les socialistes ont pillé l’argent des contribuables. La droite s’est engagée sur ses pas et pille ce qu’il reste…les rats quittent le navire non sans ressources !
A quand une véritable réforme de nos élus ?
Il y a 618 384 élus en France, soit un élu pour 104 habitants ! Dans d’autres pays, comme l’Allemagne ou les États-Unis, ce taux de représentation est beaucoup plus faible.
Les élus français bénéficient en outre d’avantages substantiels liés à leurs fonctions, notamment un régime spécial de retraite et le cumul des indemnités en cas de cumul des mandats.
Les parlementaires touchent de plus des indemnités représentatives de frais de mandat et des fonds pour leurs collaborateurs, dont l’utilisation est très peu transparente.
A l’heure où l’État cherche à réaliser des économies, une diminution du nombre d’élus ainsi qu’une réforme de leurs statuts sont plus que nécessaires.
Trois réformes s’imposent de toute urgence :
Diminuer le nombre d’élus, en commençant par une réduction d’un tiers du nombre de députés et de sénateurs ;
Supprimer le cumul des rémunérations en cas de cumul des mandats ;
Durcir les sanctions en cas de comportement délictueux d’un élu dans le cadre de ses fonctions.